Résidente d’Ahuntsic, Mme Denyse Lapierre est née à l’Hôpital du Sacré-Cœur-de-Montréal. Elle y a donné naissance à ses trois enfants. C’est son Hôpital de quartier et l’attachement envers ses experts y est grand. Ses parents, des membres de la famille et elle-même ont eu besoin par le passé des soins de certains spécialistes de Sacré-Cœur, notamment en cardiologie. Mme Lapierre, ancienne optométriste du quartier, avait d’ailleurs parmi sa clientèle des employés l’Hôpital du Sacré-Cœur.
Le premier don de Denyse Lapierre remonte à 1992. C’est 30 ans plus tard, en 2021, qu’elle a décidé d’adhérer au programme de dons mensuels et de joindre ainsi le Cercle des grands cœurs. Pour la nouvelle retraitée depuis janvier 2020, ce mode de donation est simple. Faire des dons réguliers la font se sentir utile. Cela lui permet de participer véritablement au développement de Sacré-Cœur en contribuant à l’acquisition d’équipements et en appuyant la recherche. « Je ne peux pas donner de mon temps pour mon hôpital, mais je peux donner de l’argent », a-t-elle affirmé. Au début de la pandémie, lorsque les masques étaient introuvables, cette dernière en a cousu plusieurs. Elle les a vendus pour faire des dons à la Fondation.
Denyse Lapierre, âgée dans la soixantaine, dit être à une période de sa vie où sa situation financière lui permet de donner plus. « Je pense que ces dons peuvent servir aux autres, ou à moi éventuellement, puisqu’en prenant de l’âge on risque d’avoir besoin davantage de soins. Un petit montant par mois, ce n’est pas si mal pour le portefeuille. »
Pour Mme Lapierre, le fait que M. Pierre Karl Péladeau double les dons des nouvelles adhésions au programme de dons mensuels, le Cercle des Grands Cœurs, a été un incitatif. C’était une façon de donner encore plus. Elle invite les gens à profiter de ce programme qui revient cette année pour faire en sorte que M. Péladeau atteigne le montant maximum de contribution qu’il a promise, soit 25 000 $.